Notre Pain Quotidien
- PostMaster

- 7 juil.
- 2 min de lecture
2025.07.07

C’est ici la journée que l’Éternel
a faite : qu’elle soit pour nous
un sujet d’allégresse et de joie !
Psaume 118.24
Le bien ultime
En Jamaïque, mes parents nous ont élevées ma sœur et moi en nous enseignant à devenir de «bonnes personnes». Sous notre toit, cela voulait dire obéir à nos parents, dire la vérité, réussir à l’école et au travail, et aller à l’église... du moins à Pâques et à Noël. J’imagine que beaucoup de gens adhèrent à cette définition, quelle que soit leur culture. Or, l’apôtre Paul s’est servi, dans Philippiens 03, de la définition qu’en donnaient les gens de sa propre culture pour apporter un enseignement plus important encore.
Étant un juif pieux du 1er siècle, Paul suivait à la lettre la loi morale que prescrivait sa culture. Il était né dans la «bonne» famille, il avait reçu la «bonne» éducation et il pratiquait la «bonne» religion. Selon les coutumes juives de l’époque, il était l’exemple même d’une bonne personne. Reste qu’aussi bon il pouvait être, Paul a dit à ses lecteurs (et à nous) qu’il y avait mieux que d’être une bonne personne. Il savait que, même s’il était bien d’en être une, cela n’équivalait pas au fait de plaire à Dieu.
Or, Paul précise dans les versets 07 et 08 que, pour être en mesure de plaire à Dieu, il faut connaître Jésus. L’apôtre considérait sa propre bonté comme «de la boue», par comparaison avec «l’excellence de la connaissance de Jésus-Christ». Nous sommes de bonnes personnes - et nous plaisons à Dieu - lorsque notre espoir et notre foi résident uniquement en Christ, et non en notre bonté.
Karen Wolfe
LECTURE DU JOUR
Philippiens 03.01-11
Et même je regarde toutes choses comme une perte,
à cause de l’excellence de la connaissance
de Jésus-Christ mon Seigneur.
[Vers. 09]
LA BIBLE en UN AN
Psaume - 127 - 129



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