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Méditations

2024.06.15


Comme des courants d'eau dans le désert.



Genèse Chap. 41 Vers. 52 

52 Dieu m’a fait fructifier dans le pays de mon affliction. 

(Version Darby) 






Un poète se tient près de la fenêtre et regarde la pluie déverser ses nuages d'été.

Alors il se met à chanter cette mélodie :


"Pour moi, ce n’est pas la pluie qui se déverse, mais les jonquilles ; 

Dans chaque gouttelette la pluie, 

les fleurs sauvages se dessinent sur les collines. 

Un noir nuage engloutit la journée et recouvre la veille ; 

Pour moi, ce n’est pas la pluie qui déverse, mais les roses."

 

 

 

Il y avait une harpe dans la douce tranquillité de l’air. 

Les rayons du soleil inondaient les fleurs parfumées. 

Accablé par le souci, un voyageur s’efforçait 

du lever du matin jusqu’aux lueurs du crépuscule, 

de tirer des sons harmonieux des cordes muettes de l’instrument. 

Le pèlerin s’évertuait en vain de faire résonner les cordes, 

jusqu'o ce que le tonnerre de l’orage entonne un chant, 

Et que, se mouvant sur la tempête, les doigts du Seigneur réveillent une divine mélodie. 

Les vents comme au combat accomplissaient leurs tourments,  

et leur passage sur les cordes faisait une musique héroïque, 

Tandis que la voix rassurant de Dieu 

A travers la tempête, égrenait des notes d’amour.  


L.B. Cowman

 

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