Et toi Seigneur, que dis-tu de moi ?
Mat.16:13-16
Jésus, étant arrivé dans le territoire de Césarée de Philippe, demanda à ses disciples: Qui dit-on que je suis, moi, le Fils de l’homme ?
Ils répondirent : les uns disent que tu es Jean-Baptiste; les autres, Elie; les autres, Jérémie, ou l'un des prophètes. Et vous, leur dit-il, qui dites-vous que je suis ?
Simon Pierre répondit: Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.…
Simon Pierre avait reçu du Père cette révélation par laquelle il reconnaissait en Jésus le Christ, le fils du Dieu vivant.
En partant de cette question de Christ à ses disciples, nous pourrions légitimement inverser cette interrogation en nous demandant ce que Christ dit de nous.
Et toi, Seigneur, que dis-tu de moi ?
Voila une question que nous devrions régulièrement nous poser !
Que dis-tu de moi ? Comment me vois-tu ? Psaumes 14:2 - 37:37 -
Suis-je un disciple zélé pour toi ? Rom. 12:11
Est-ce que je me nourris chaque jour de ta Parole ? Hébreux 5:14
Est-ce que je pense aux besoins de mes frères et soeurs ? Romains 12:13
Est-ce que je prie pour eux, pour les perdus et pour l’église ? Jacques 5:16
Suis- je sensible à la voix du St-Esprit pour me guider et me remplir ? 2 Timothée 1:14
Suis-je conscient de ma position en Christ ? Eph. 1:3
Est-ce que j’exerce les dons spirituels dans mon église ? 1 Cor. 14:1
Etc, etc …
Rappelons-nous ce que Pierre nous dit dans sa deuxième épitre :
1:3 “Sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, au moyen de la connaissance de celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu.
Celles-ci nous assurent de sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise.
A cause de cela même, faites tous vos efforts pour joindre à votre foi la vertu, à la vertu la connaissance, à la connaissance la maîtrise de soi, à la maîtrise de soi la patience, à la patience la piété, à la piété l’amitié fraternelle, à l’amitié fraternelle l’amour.
“Car si ces choses sont en vous, et y sont avec abondance, elles ne vous laisseront point oisifs ni stériles pour la connaissance de notre Seigneur Jésus-Christ.”
Nous aurons alors de l’assurance quand nous poserons la question : mais toi, Seigneur, que dis-tu de moi ?
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